Donjon D'halloween

Pourquoi êtes vous ici ? Avez vous vraiment besoin de la savoir ? Toujours est il que vous voilà plongé dans la marais grouillant d'insecte de vers, et de diverses sortes de batraciens plus ou moins gros, et plus ou moins répugnant. Des odeurs nauséabondes volant dans l'air provenant des marécages que vous êtes en train de parcourir. Les jambes, les bottes ou sandales, pleines de vases et de mousses. Voila que vous êtes en train chacune pour vôtres raison d'arpenter ces lieux néfastes.

Nennia:

Ta passion pour les plantes et la fabrication de nouveaux filtres, t'as amenée dans ces marécages insalubres, où tu as fini part te perdre. Marchand en recherchant ton chemin. Tu sentiras plusieurs regard pesant sur ta personne, qui t'entraînerons dans une fuite et tu arriveras en face d'une grande bâtisse en bois. Un manoir immense semblant perdu dans ses lieux malfamés, un lieu semblant complètement à l'abandon.

Alors que tu es entrain d'observer la bâtiment d'un regard inquiet, tu sent un coup dans ton dos qui te déséquilibre, et voila que tu glisse dans la vase et te retrouve comme part magie dans une des pièces de se manoir, ou règne une lumière glauque provenant d'une unique lampe a pétrole entrain de balancer une dessus de ta tête.

Deux solutions se portes a toi. Prendra tu cette portes qui se trouve en face de toi avec sa poignet ronde et en bois. On prendra tu la porte sur ta gauche, une porte plus massive à la poignet en métal rouillé ?

Galya:

Un nouveau meutre t'a entraîné dans les marécages, pour la première fois ton chef t'a demandé de te débarrassé du corps dans un endroit discret et retiré afin que l'on ne le retrouve pas. Traînant le lourd corps voilà que tu le regard entrain de couler dans ses marécages, et la nappes de mousses flottante recouvrir l'acte que tu viens d'accomplir.

Faisant demi tour, tu es pris d'un affreux doute, es-tu bien sur le bon chemin ? Comment cela se fait que tes traces aient disparu de la sorte ? Pourquoi ton sens de l'orientation est il aussi perturbé et pourquoi n'arrive tu pas à retrouvé ton chemin et ton calme ?

En continuant malgré tout d'avancer tu vois un grand bâtiment en face de toi entrain de se dessiner dans les brouillards. Continuant de t'approcher de ce manoir abandonne comme un morceau de métal part un aimant. Te voila sans même comprendre pourquoi dans le hall principal sans pouvoir faire demi tour. Tu te retrouves dans un grand hall baigné dans la lumière d'un lustre où brûlent plusieurs bougies semblant comme flotter dans l'air.

Trois solutions s'offre a toi. Prendras tu les escaliers en face de toi menant dans une pénombre que tu ne peut distinguer malgré la facilite d'un elfe a voir dans l'obscurité ? Prendra tu cette porte sur ta droite où la poignet semble manquer ? Ouvrira tu cette immense porte a double montant en face de toi ?

Nathaniell:

Une quête d'un particulier t'a entraîne dans ses lieux. A la recherche d'un nouveau artefact magique pour cet étrange individu rencontrer autour d'un table et d'un verre alcoolisé, aussi étonnant soit il tu as acceptée cette aventure sans même t'en rendre compte. Et à ton tour tu te retrouve dans les marécages.

Encore entrain de maugréer sur ton sort, te voila face a face à un tarentule géante qui te prenant dans le piège de sa toile, te traînera à travers les marécages. Perdant tes éventails de combat sur la route, ta tête cognera contre une racine.

A ton réveil tu te retrouve englue dans une toile dans l'incapacité physique de bouger, pendu la tête en bas. Tu te trouve dans la nid de la tarentule, qui semble absente pour le moment. Sûrement pour cela que tu es encore en vie. Complètement engluée dans un cocon de toile, il semble dans une pièce, peut être un manoir ou un bâtiment ? Complètement plonge dans le noirs, tu peux cependant distinguer un nid de toile, et des centaines d'oeuf écloses.

Comment vas tu te sortir de cette situation ? Dépêche toi, tu entend comme un essaim grognant provenant de la porte ouverte en face de toi.

Galya était assez perplexe sur l'évènement qui venait de se passer. Alors qu'elle transportait de façon plus qu'inconfortable un corps inanimé à travers ce marais puant, dont les volutes de vapeurs soufrées lui montaient à la tête, une batisse semblant surgir de nul part l'attira comme le serait ce soir un papillon de nuit par une lampe à huile.

Sans tellement comprendre les tenants et les aboutissants de ce lieu incongru, voilà que Galya s'était retrouvée enfermée entre quatre murs... enfin entre trois murs et un escalier. Ses jambes auraient-elles marchées bien malgré elle ? Ou sa curiosité l'avait poussée plus loin que sa raison ?

Mais plus le temps de se poser ces questions. Galya était enfermée, coincée, esseulée. La panique ne lui parvenait pas encore, son métier l'aidant à surmonter ses émotions. Elle tendait l'oreille pour entendre n'importe quel bruit suspect, et faisait fonctionner ses méninges en hâte :

" Je vais emprunter cette porte sans poignée. Elle doit bien mener vers un débaras quelconque, sinon elle serait mieux entretenue.... ", pensa t'elle alors, en se mettant accroupie pour regarder à travers le trou où se fixait auparavant la poignée.

[hrp. Si action pas possible, je la pousse pour entrer dans la pièce.]

Une fois de plus, les cueillettes de Nennia l’avaient menée dans un drôle d’endroit. Une fois n’est pas coutume, elle avait revêtu un pantalon de lin blanc, ayant retenu la leçon lors de sa cueillette précédente dans les Bois Lunaires où elle s’était retrouvée dans une position qu’elle aurait aimé éviter ! Rien qu’en y repensant, elle rougit de plus belle. Malheureusement, les marais lui étant moins familiers que la forêt, elle s’était perdue. De la vase jusqu’au niveau du genou, elle marchait de plus en plus vite, inquiète de ce qui lui arriverait si elle ne parvenait pas à sortir de là. Au bout d’un moment, une ombre se détacha de la brume environnante. Nennia se dirigea vers elle et son cœur battit plus vite en remarquant que l’ombre avait la forme d’une maison. Elle était sauvée !!!... Trop vite dit… La maison en question était abandonnée au vu de son aspect extérieur. La fausse joie de la petite elfe fut terrible et elle s’en mordit la lèvre de contrariété. Alors qu’elle s’apprêtait à faire demi-tour, elle sentit un coup dans son dos qui la fit tomber dans la vase. Elle reprit connaissance dans une pièce avec pour seul éclairage une petite lampe à pétrole. Elle se regarda et soupira, elle était pleine de vase… Elle frotta sa joue, elle en avait jusque dans les cheveux. Misérable, elle fit le tour de la pièce. Etait-elle dans cette fameuse maison abandonnée ? Comment était-elle arrivée là ?... Ni une ni deux, elle remarqua qu’il y avait deux portes. Laquelle serait sa clé vers sa sortie ? Son instinct la poussait vers la porte massive à la poignée rouillée mais étant donné qu’il ne lui avait pas porté chance jusque là, elle alla contre lui et tourna doucement la poignée en rond et en bois de la seconde porte, priant pour qu’elle ne grince pas…

Qu'est ce qu'elle avait un mal à la tête... Et quelle idée de cuver dans les marais surtout pour retrouver quelque chose dont elle ne connaissait plus le nom. Nathaniell s'arrêta pour s'adosser à un arbre, enfouit son visage dans ses main et les serra contre sa tête comme si cela allait la soulager...

-Rhaaaaaaaaaaa! Et toute cette vase ! Et ces insectes! Graaaa!

Autant dire qu'il ne fallait pas plus l'embêter. Elle était d'une rage folle en ne supportant que très rarement de cuver. Avec un souffle de désespoir elle se claqua la tête en arrière contre son tronc. Pas fort, mais assez.
Nathaniell ressouffla fit retomber ses bras et s'avança toujours les yeux fermés. Elle se cogna contre quelque chose de "mou" et d'assez poilu. Elle ouvrit immédiatement les yeux pour apercevoir deux énormes mandibules. Avant d'avoir put lancer ses éventail, une toile épaisse et visqueuse vient s'agglutiner sur elle. L'évanescente se débattait du plus possible mais bientôt, l'anesthésiant de la toile vint lui faire rejoindre le pays des rêves.

Ou des cauchemars... la psychiste ouvrit soudainement les yeux. Une sorte de liquide quelque peut ragoutant et flasque coulait le long de sa joue. Elle était complètement perdue et avait encore bien plus mal à la tête qu'avant... Elle essaya de se souvenir... une tarentule... une toile... Elle regarda au dessus d'elle et fut surprise de voir... Le sol ?!? a ce moment elle regarda ce qui était le sol pour elle mais en réalité le plafond. Elle était suspendue dans un cocon... Et à côté de centaine d'œuf. Cependant rien ne bougeait...
Nathaniell soupira, enleva grâce à son souffle quelques morceaux de toiles de son visage. Elle commença à gesticuler doucement pour se tirer de son affaire. Un bruissement qui devait appartenir à une cohorte d'insectes résonna par la seule sortie qu'elle pouvait voir.
Vite elle réfléchit malgré sa migraine. Faisant appel à son don génétique elle fit disparaitre son corps entier. De ce fait elle "tomba" dans l'autre monde pour réapparaitre dans le vide de sa chute. Elle se fracassa le dos contre la pierre car elle n'avait pas pu contrôler ses appuis. Ses aiguilles en verre se brisèrent, il ne resta qu'une de potable... Et sa migraine empira, lui faisant voir des tarentule tourner autour de sa tête...
Elle se releva en glissant sur le liquide visqueux qui trainait au sol.

Elle était libre mais par où passer ? Elle rechercha du regard une autre solution que de là d'où venait le bruit...

Galya:

Alors que tu es entrain d'observer dans le trou de la serrure, rien ne s'offre à ta vue. Qu'une immense pénombre que tes yeux d'elfe n'arrivent à dévoiler. Cependant tu as un pressentiment, que c'est une salle étroite, et longue. Sans doute un couloir. Tu pousses lentement la porte pour y pénétrer, et à peine passer le seuil de la porte, que celle-ci claque violemment dans ton dos, et tu te retrouve dans l'impossibilité de l'ouvrir. Piégée comme un rat en boite, tu auras beau frapper, cogner, pousser ou tirer la porte, celle-ci ne bougera pas d'un centimètre. Tu es obligée de continuer dans ce couloir qui s'offre maintenant à ta vue. Un long couloir dans lequel pend des lanternes qui se balance lançant leurs reflet de ténèbres contre les murs en bois et le plancher. Tu as l'impression de te retrouver dans un brasier, sans pour autant en éprouver la chaleur et les douleurs. Le couloirs et long et tu as encore bien des possibilités qui s'offre à toi, alors qu'un craquement sourd se fait entendre tout autour de toi.

Cinq solutions s'offre à toi. Prendras tu la première ou la seconde portes sur ta gauches ? Des portes en bois aux poignets de cuivres, des portes semblant lourdes et entretenues comme leurs jumelles qui se trouves en faces d'elles sur le mur d'en faces. Ou prendra tu tes jambes à ton cou pour fuir ses craquements sinistres qui t'entoures et ainsi t'enfoncer dans ce couloir dont tu ne vois le fond ?

Nennia:

Alors que tu saisis la poignet pour la faire rouler dans ta main afin d'ouvrir la porte. Celle-ci s'ouvre dans un petit couinement métallique pour te laisser pénétrer dans ce couloir. Inivitablement tu te sent attirer part se couloir aux odeurs de bois rare, d'essam et de vernis. En refermant la porte dans ton dos, tu sentiras rouler la poignet dans ta main et celle-ci se dévisera pour te rester dans la main, et te faire entendre sa jumelle qui tombe et roule au sol de l'autre côté de la porte. A ton tour tu te retrouve bloqué dans ce couloir sans fond aux odeurs ennivrantes.

Alors que tu allais faire un pas en avant, d'instinct tu es pris d'un grand doute. Quelque chose en toi te dis de faire attention et que si tu fais un pas de plus tu te retrouveras en grand danger.

Que vas tu faire ? Suivre ton instinc et faire attention ou tu pose les pieds ? Ou ne pas le suivre, et t'insinuer dans ce couloir sans crainte ?

Nathaniell

Le bruit des pas et du grouillements se fait de plus en plus sonore, l'amat de petites créature est entrain de se rapprocher pour savourer leurs diné qui est entrain de se carapater. De la bave, des dégestions, du liquide provenant des oeufs recemment eclos, de tout trainé au sol, et aussi des armes rouillées, surement un quelconque autre aventurier qui eu moins de chance que toi.

Tu es entrain de tourner en rond dans la piece et à part cette porte, il n'y a qu'une seul autre ici. Un trou dans le plafond assez grand pour laisser passer la tarentule qui t'a emmenee ici.

Dans les armes rouillées tu as aux choix:
Une épée courte trés rouillée qui ne tiendra surement que pour quelques coups.
Une dague rouillée qui semble costaud mais dont le tranchant semble trés limité.
Une arbaléte légére en assez bonne état, avec seulement deux carreaux.

Nennia ne put retenir une grimace lorsque la porte s’ouvrit avec un couinement métallique. Elle pouvait d’ores et déjà oublier la discrétion… Un instant, elle se laissa distraire par les odeurs de boiserie et de vernis, et inspira à pleins poumons. Avec un peu d’imagination, on se croirait en pleine forêt ! Mais l’heure n’était pas à l’insouciance et elle reprit vite ses esprits, surtout lorsque la porte se referma dans son dos et que la poignée lui resta dans la main. Elle écarquilla les yeux de contrariété et tenta de rouvrir la porte sans y parvenir, entendant l’autre partie de la poignée rouler de l’autre côté. Impossible de faire marche arrière à présent, Nennia se mit à en trembler. Elle fit un pas en avant, puis s’arrêta, l’estomac noué par la peur et le doute. Puis elle secoua la tête comme pour en chasser toute appréhension et s’avança doucement dans le couloir, avançant un pied à la fois, la main droite appuyée sur le mur comme pour y puiser de la force. Rester sur place n’avait rien d’intelligent, en effet personne ne viendrait la secourir. Elle allait devoir se débrouiller seule et regretta de s’être aventurée si loin de chez elle.

Instant de panique, que faire, regarder au sol oui, en essayant bien sure de ne pas glisser. Mais pourquoi était elle retombée là... Les petits grouillements n'en étaient que plus inquiétant chaque secondes, et quel mal de tête ! QUEL MAL DE TÊTE ! Nathaniell aurait voulu se claquer le cerveau par terre, l'enlever que pour quelques instants, même quelques secondes, mais rien à y faire elle resterait dans cette état jusqu'à ce que son corps veuille bien accepter la douleur.
Ses yeux roulaient dans leur orbites quand les bestioles commencèrent à s'approcher.

L'évanescente porta instinctivement ses mains sur ses éventailles, qu'elle n'avait plus...

*Mais biensure...*

Mais qu'est ce qu'elle faisait là bon sang, qu'est ce qu'elle fichait ici avec ce fichu mal de crane à la mort moelle nœud... Elle attrapa une arme au hasard parmi la ferraille et la puanteur des lieux, abandonnés depuis longtemps, a part par les méchantes bestioles mangeuses d'évanescentes.
Nathaniell prit un air dévergondé devant cette "arme" une vieille dague rouillée, que ne devait pas couper grand chose avec, en prime, un bras à moitié dévoré et en décomposition pendant au bout. L'évanescente le retira avec son pied en le coinçant entre sa chaussure et le sol et en tirant un bon coup. Elle attrapa juste son avant bras dans le nez, fichtre qu'il était solide ce vieux truc.
FICHTRE QUE SON BON CARACTÈRE N'ÉTAIT PAS SOLIDE !
Il fallait qu'elle se calme... Ho finalement que non. Elle décida de s'élancer alors tête baissée avec une incroyable mauvaise humeur et un coup de mauvaise dague furax, malheur à la créature aussi grosse soit elle qui se trouvera sur son chemin !

Galya était à présent coincée dans ce couloir sordide où les lumières rougeoyantes chancellaient au plafond, à un mètre au dessus d'elle. Elle n'était pas forcément effrayée, mais se demandait comment elle ferait pour en sortir... la porte qu'elle venait de passer semblait verouillée, alors qu'il y a quelques instants, elle ne l'était même pas !

Alors que Galya pestait de malchance, des bruits étranges faisaient écho autour d'elle, et à sa vue, outre le couloir sombre qui menait n'importe où, il y a avait deux paires de portes qui ne demandaient qu'à être ouvertes pour en explorer les salles où elles menaient.

Galya n'hésita pas, elle dégaina rapidement sa rapière, ouvrit la seconde porte à sa gauche aussi vite qu'elle pue, et tira du bas de son dos sa dague avec sa main libre. Elle avait agi avec hâte pour tenter de s'isoler de ces craquements constants qui commencaient à l'approcher. Ses instants de combattante prirent le dessus, alors qu'elle maniait maintenant ses deux lames... Mais au fond d'elle, elle espérait ne pas avoir à faire avec le maître des lieux ou un de ses familiers....

Nennia :

Alors que tu seras entrain de marcher en te tenant contre le mur tu sentiras le sol céder sous tes pas et ton poids t'entraînera dans une chute qui te semblera interminable.
Tombant lourdement sur ton gracieux popotin dans un "Floschs" peu ragoûtant, rien que le bruit ne te donne pas envies de savoir sur ou dans quoi tu as atterrit. Mais toujours est-il que cela semble se mouvoir sous toi et que tu te retrouve dans un noir complet avec pour seul luminosité, les rayons que laisse passer ce trou au dessus de ta tête qui laisse entre apercevoir des mur de pierre autour de toi et un porte un peu plus loin dans le cellier où tu te trouve.

Oseras tu regarder ceux sur quoi tu es assis ? Prendra tu cette porte ? Ou cherchera tu un moyens de remonter sur ce plancher qui a déjà cédé une fois sous tes pas ?

Nathaniell:

Oh elle est de mauvaise humeur, et elle fonce sans réfléchir vers ce montant sans porte duquel elle entendait parvenir ce grouillement.
Dans un excès de rage et de mauvais esprit se jetant sans queue ni tête vers cette porte, elle manquera de basculer part dessus le garde fou qui se trouvé juste après celle-ci venant alors dévoiler une immense salle accessible de deux escalier en bois qui longés les murs sur la droite et sur la gauche. Au centre de la salle elle pouvait apercevoir deux ou trois araignées de taille déjà imposante, celle d'une grosse citrouille, entrain de dévorer ce qui ressembler à un renard. De quoi la faire rire aux éclats.
Mais le grouillement devins de plus en plus sonore. Et d'une porte à deux battant grande ouverte sur cette salle, viendra surgir, deux, puis quatre, puis dix, douze, vingts, vingts cinq. Une quarantaines de même araignées étaient entrain de surgir de cette porte attirées part le sang et part la chair. Mais surtout part un couinement significatif qui provenait du dos de l'Evanescente alors que en tournant la tête elle pouvait voir apparaître une, puis deux des pattes de l'araignée bien plus imposante que celles qui étaient entrain d'accourir en bas.

Vas tu affronter les petites ? Ou la grosse bêbête ?

Galya:

Aussitôt cette porte franchies que tu la sentiras se refermer et se bloquer dans ton dos comme la précédente dans un claquement sonore.
Mais la est loin d'être l'occupation principal, de cette irruption inattendu et quelque peu bruyante, l'elfe Selenienne semble avoir quelque peut déranger cette animal lors de son frugal repas.
Plus communément appelé chat aux dents de sabre, elle aura le malheureux plaisir de voir ce charmant petit félidé tourner son regard ambrun sur la demoiselle, et montré ses jolies crocs démesuré dans un grondement de rage bien peu amical.

La salle est close, avec un corps à moitié dévoré en son centre où ce trouve l'animal en question, sur ta gauche tu peux voir une bibliothèque vide au étagère effondré comme si quelqu'un avait essayé de les escalader et que cela c'était effondré sous son poids, de l'autre coté une commode posé contre le mur aux tiroirs semblant fermé. La seul issu se trouve derrière le félins qui s'approche lentement. Une seul initiative. Le combat !

Galya n'avait pas le choix, elle devait affronter l'animal. D'ailleurs, comment cet animal était arrivé ici ? D'un regard circulaire, elle remarqua la commode aux multiples tiroirs, et son sang ne fit qu'un tour... Elle voulait le fouiller !

Etant donné que l'animal sapprochait lentement, la lorgnant comme pour jauger ses talents de guerrière, Galya commença à avancer, en pas chassés, vers la commode, sans quitter l'animal du regard. Elle savait que si elle perdait le contact visuel, la bête allait l'attaquer. Alors, elle faisait tout pour le conserver.

Alors qu'elle s'approchait de la commode, armes au clair, yeux dans les yeux, elle glissa doucement sa main dans la petite poche où elle détenait sa poudre somnifère, pour en prendre quelques pincées entre ses doigts de sa main armée de sa dague "juste au cas où".

Arrivé au niveau de la commode, dos à elle, Galya prit appui sur une de ses mains pour faire glisser ses fesses dessus, puis s'y tenir debout, toujours lentement, sans gestes brusques... Elle etait prete à souffler sa poudre somnifère sur l'animal, depuis son "piédestal" !

A peine Nennia avait-elle commencé à avancer qu’un horrible craquement retentit sous ses pieds et avant qu’elle n’ait le temps de s’en inquiéter ou de rebrousser chemin, le sol se déroba sous ses pas et elle tomba en criant, surprise et effrayée. Elle atterrit sur ses fesses et ne put retenir une grimace en entendant le « Floschs » du sol sous elle. Le même bruit que lorsqu’elle était tombée dans les marais. Le sort s’acharnait sur elle mais elle savait qu’il était important de ne pas abandonner, d’aller de l’avant ou bien celui qui s’était amusé à la kidnapper lui ferait Dieu sait quoi ! Tout son dégoût pour cette matière recouvrant le sol pouvait se lire sur les traits de son visage, expression qui s’accentua encore d’avantage lorsqu’elle sentit le sol se mouvoir autour d’elle. Elle se leva d’un bond, poussant un petit couinement, et leva la tête vers le trou béant du plancher au-dessus d’elle.

Grâce à la lumière qui émanait de là, Nennia se dirigea vers un mur avançant à coup de petits « floschs » mais sa raison lui dictait de ne pas regarder sous elle. Elle tenta d’escalader le mur aux pierres irrégulières mais ceux-ci étaient tellement humides qu’elle glissaità chaque fois. Pas moyen de remonter par où elle était venue… Zut…

Heureusement elle distingua bientôt une porte dans la pénombre et se dirigea vers elle. Elle n’avait guère le choix… Mais que cette maison était étrange et mystérieuse. Et elle aurait vraiment aimé savoir pourquoi elle était là…
Avec mille précautions, la petite elfe fit tourner la poignée et entrouvrit doucement la porte, glissant la tête par l’intervalle pour voir s’il y avait le moindre risque par là ou si la voie était libre.

Quand l'évanescente tourna la tête un cri de stupeur s'ébroua et s'échappa de ses poumons. Méchante bestiole, très méchante bestiole...
Nathaniell tenta tant bien que mal d'évaluer la situation. En vain avec un mal de crane pareille et la pression des deux côtés exercées par les araignées grouillantes.
Qu'affronter ? Quelle serait la meilleure échappatoire?
Avec le peu d'arme qu'elle possédait, armes au corps à corps qui plus est, affronter les petites araignées n'auraient eu que pour seul impact de lui retirer sa position de duel actuel. Tuer la plus grosse bestiole, si on y arrive et le tour sera joué... on l'espère bien...
Brandissant son arme dérisoire, elle put croire entendre la grosse bébête se foutre d'elle un instant. La jeune être bicolore resta silencieuse, immobile, tenta de cerner les mandibules baveuse du monstre puis, sans prévenir s'élança.
Vive comme un éclair, elle se faufila sur le côté de l'araignée, fit travailler les muscles de ses jambes pour se retrouver à grimper sur la patte de la bestiole à toute vitesse. En moins de deux elle se retrouva sur son dos.
La jeune Evanescente tentait tant bien que mal de garder l'équilibre et pour cela elle s'était accroupie sur l'abdomen du monstre.
Elle leva ses deux bras qui tenaient la dague mauvaise et les abaissa subitement sur le dos de l'araignée en priant presque Eledar que sa dague soit en mesure de la frapper suffisamment pour provoquer des dégâts...

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