écorché vive.

Pourquoi je suis venu ici ? Je ne sais pas. Pour attendre ici que quelque chose arrive ? Simple curiosité. Pourquoi avoir tué ses bêtes innocentes ? Elles auraient poussé des hurlements et nous aimons le calme tout les deux. Pourquoi les avoir écorchés vives ? Simple plaisir des yeux. Et pourquoi les pendre au branches de ses arbres ? Pour la décoration, maintenant, évite de me parler j'aimerais rester au calme, et ta parole me fait l'effet d'un porc qu'on égorge. Je te rappelle très cher, que j'incarne ta conscience, c'est donc ta propre parole qui te dérange..!
Je deviens fou...Enfaite non, je l'ai toujours été. Tu peux rire si tu veux. Ça ne fait rien. Crois que tu es plus malin que le pauvre, le misérable Dément. Ça ne fait rien. Ce qui nous rend différent ?Simple : je me souviens de ce que j’ai vu lorsque j’étais vraiment et totalement mort. Tu serais fou, toi aussi.
Des conversations avec moi même ce n'est pas rare. J'aime débattre avec moi même, me contredire tout seul, ou je dois être complètement fou.
Je reporte mon regard sur les herbes ou les arbres au alentours, c'est magnifique, je suis content d'être ici, la dame Lune est haute dans le ciel, elle éclaire ma peau pale de ses doux rayons, je n'ai aucune idée de l'heure qu'il est, je ne sais pas non plus que que je vais faire par la suite, surement me rendre a la capitale humaine histoire de récupérer des contrats pour avoir de l'argent...Le sang des bestioles que j'ai tué a arrêté de couler, des flaques pourpres entour l'arbre contre le quel je suis accroupis, je suis bien, il fait froid, il y a du sang et des morts.
J'ai ma lame pendu a ma taille, je l'ai essuyé avec un tissu pourpre, je pourrais je l'épouserais, mais mon cœur appartient a ma dame.
Combien de temps je vais rester ici contre cet arbre ? Surement jusqu'à que quelqu'un arrive.
Se que je porte ? Mon manteau en cuir m'arrive jusqu'au talons j'ai mes botes aussi noire que mon manteau ainsi que mon fidèle chapeau rabattu sur ma tête.
J'espère que quelqu'un va passer par ici, de toutes façons je ne suis pas venu ici pour rien...

J'étais enfin arrivée sur Ynilvenia. Je survolais un bois, et fatigué j'y atterris. Je levai la tête, c'était magnifique. La lune éclairait les arbres dont leurs ombres effleurait le sol. Par précaution je sortis mon manteau noir, repliais au maximum mes grandes ailes pour ne pas qu'on ne les voit et mis ma capuche pour cacher entièrement mon aura. Ce n'était pas tous les jours que dans ces régions l'on rencontre un ange. Enfin... A mon avis. J'avançais tout doucement, regardant chaque arbre, et chaque feuille. C'était etonnant, ils étaient tous différents. J'en avais pas encore vu deux identique. Soudain j'entendis un craquement derrière moi, je me retournais d'un geste vif. Je mis ma main en position d'attaque, je restais là, trés calme, en essayant d'ettouffer ma respiration. A cause de ma grande capuche je ne voyais pas tout. Un autre bruit retentit. Cela n'avais pas l'air de quelque chose de très dangereux... Alors je m'approchais, de plus en plus, lorsqu'un oiseau surgit des buissons. J'étais tombée en arrière par la surprise. Après m'être relevée, j'enlevai la poussière qui s'était accrochée a mon manteau. Je regardai si je n'avais pas laissé tombé quelque chose puis repris ma route ne sachant pas où aller. Un peu plus loin je sentis une drôle d'odeur... Du sang apperement... Il y avait du avoir un joli spectacle il n'y a pas longtemps. Mon pas se pressé jusqu'a arriver devant un trés grand arbre. D'aprés le tronc il devait être très vieux. L'odeur s'était intensifié, ça sentait le pourri. Je levai les yeux au ciel et aperçut des cadavres pendus. La panique m'envahit j'avoue... Sur quoi était je tombé ? Je redescendu la tête et vis un homme recroquevillé sur lui même, appuyé contre l'arbre. Il était pâle, et il souriait ce qui laissais paraître deux dents pointues. Hmm... Surement un vampire, il fallait que je fasse trés attention. J'avais déja un avantage... Il ne savait pas que j'étais un ange, ni que j'avais des pouvoirs. Mon épée laissait penser que j'était une guérrière... Une brise venue a notre rencontre et pas un bruit s'échangait...

Du bruit...Enfin une personne, celle que j'attendais surement, qui m'était destinée...Je la fixe, pourquoi ? Aucune idée. Se que je vais faire ? Je ne sais pas. Se que je vais dire ? Pas la moindre idées. J'ouvre la conversations le premier ? D'accord.

Vous savez, mademoiselle, la chose que vous devriez dire quand vous voyez une personne, c'est Bonsoir, vous manquez de politesse.

Elle a du sentir l'odeur du sang, surement se qui la poussé a venir ici, elle est plutôt belle assez fine et une épée pendue a la taille, elle combat ? Une guerrière ? Elle est beaucoup trop fragile pour tenir une lame et se battre, elle correspond plus avec une magicienne, mais on ne sait jamais, je me lève avec grâce et souplesse, et fait une noble révérence retirant au passage mon chapeau, révélant ma chevelure noire et mes yeux rouges jusque la dissimulé dans l'ombre. Je sens qu'elle a peur autant continuer a l'effrayer un peu, je ferme les yeux et me concentre sur les signes étrange et compliqué que mes mains commencent a tracer. J'ouvre mes yeux, toujours aussi rougeoyant, le vent souffle plus fort, je me met a me défragmenter, huh...Une sensation étrange m'envahit. Changé en brume, je peux aller ou je veux. Je me retrouve derrière la jeune fille toujours un sourire au lèvres.

Aussi, il faut aussi demander comment va la personne, alors, comment allez vous damoiselle ? Vous êtes perdue ? Attention les nuits ne sont pas sure.

Vous savez, mademoiselle, la chose que vous devriez dire quand vous voyez une personne, c'est Bonsoir, vous manquez de politesse.

Je le fixais, les yeux rond, je ne savais pas quoi répondre et je ne voulais pas trop faire sa connaissance... D'un seul coup ses mains bougent en tous sens et il disparait. Non... ce n'était pas possible qu'il soit partit comme ça... je mis ma main sur mon épée prête a l'enlever de son fourreau. Et là :

Aussi, il faut aussi demander comment va la personne, alors, comment allez vous damoiselle ? Vous êtes perdue ? Attention les nuits ne sont pas sure.

Je m'étais retournais aussi vite que la lumière, mais il n'y avais personne... Alors je restais là en essayant de percevoir toutes les choses autour de moi...
Le sang, le fer de mon épée.
Le bruit du vent dans les feuilles, ma respiration, ma conscience.
A la fois le noir et la lumière du clair de lune.
Le tissu de mon manteau qui caressait ma peau.
Mon calme habituelle repris le dessus, et j'étais prête a déployé mes ailes s'il le fallait.
Je me retournais, j'étais surement dos à lui... je marchais jusque l'arbre.

Est ce vous qui ai fait cette chose ? Vous savez, quand on est poli on ne maltraite pas les gens ainsi... Sinon je vais bien merci... Et vous ? Qu'est ce que cela fait de tuer sans le moindre remord ?

Les remarques que cette femme prononce me font sourire, elle est a plongé dans le calme visiblement, je la détails, mes yeux parcours tout le corps de cette personne , au moindre risque elle me découpera avec sa lame si j'en crois la main sur la garde de cette dernière.

Calmez vous mademoiselle, je ne vais pas vous manger. Cela fait longtemps que je ne connais plus le remords et j'avais de bonne raisons de tuer ses créatures, raisons que vous n'approuveriez surement pas et puis, c'est magnifique...
Sinon que diriez vous de jouer avec moi ? Pour se détendre? Jouons tous deux, jouons à de beaux jeux...Voici des roses pourpres qui jonchent le sol..

Mon sourire reste figé sur mes lèvres, cela fait longtemps que je n'ai pas chassé quelqu'un, il serait temps de reprendre l'exercice ! Je regarde les créatures pendue et sans aucune peau, aussi morte que moi...Ce spectacle magnifique ne suffit malheureusement pas a raviver la vieille flamme de vie qui m'habite, trêves de plaisanteries, je reporte mon regard sur la jeune damoiselle.

Me feriez l'honneur de m'écouter jouer ?

Pour la détendre et ouvrir la chasse, mon sourire est toujours dessiné sur mes lèvres, je tire ma flute de mon sac, sans attendre la réponse de mon interlocutrice, je tire ma flute en ébène de mon sac, elle est belle, je l'ai acheté dernièrement, faites sur mesure, si on peux parler de cela pour un instrument de musique.
Je dépose mes lèvres sur le bec de ma flute, ferme les yeux et inspire grandement, je commence a jouer, je suis accordé avec ma flute en parfaite symbiose si je puis dire. Mes doigts cours le long de la flute qui se met a produire un son doux et envoutant, je r'ouvre les yeux et regarde la damoiselle .

Calmez vous mademoiselle, je ne vais pas vous manger. Cela fait longtemps que je ne connais plus le remords et j'avais de bonne raisons de tuer ses créatures, raisons que vous n'approuveriez surement pas et puis, c'est magnifique...
Sinon que diriez vous de jouer avec moi ? Pour se détendre? Jouons tous deux, jouons à de beaux jeux...Voici des roses pourpres qui jonchent le sol..

Je trouvais ses paroles de plus en plus inquiétantes. Mais mon sang froid gardait le dessus. Un vampire doit surement sentir ces choses, la peur et l'angoisse.

Il n'y a jamais de bonne raison de tué quelqu'un...

A ces paroles je m'appuyai contre l'arbre ayant regardée avant si aucune tâche de sang y trainait. Je le fixais, lui, et son petit sourire qui me semblait sadique plutôt que tout gentil mignon. Son regard me quitte et part au dessus de moi, il regardait surement son... œuvre, moi je le gardais a l'œil. soudain ses yeux se reposèrent sur moi :

Me feriez l'honneur de m'écouter jouer ?

Tiens... Je n'avais vu dans aucun livre que les vampires aimaient jouer de la musique... Cela me paraissait... Surprenant. Je lui répondis par un sourire, ironique je sais, mais un sourire quand même. Il se mit à jouer. Jamais je n'entendis un aussi beau son... Ma main s'enleva tout doucement de mon épée et je m'assis par terre toujours contre l'arbre. Mes yeux ne le quittait pas d'une seconde, mais il fut tenté à regarder le ciel. Ce que je fis immédiatement. J'essayais de rester sur mes gardes, j'étais de toute façon prête à réagir.

C'est... magnifique

Je la fixe, tout en continuant ma chanson, puis je m'arrête...Je vais changer de musique, je reporte ma flute a ma bouche un son plus glauque...Plus angoissant se met a sortir de ma flute, il manque un pentacle tracé avec le sang des bestioles pendue au arbres, ho, la jolie damoiselle me ramène a la raison, aucune raisons de tuer quelqu'un ?

Hé bien damoiselle, j'aurais une question a vous poser ? Il n'y a jamais une bonne raison de tuer quelqu'un, alors dans ce cas pourquoi portez vous une épée ?

Un sourire sardonique orne mes lèvres, je recommence a jouer, la même chanson, pour faire paniquer cette jeune femme, je pense que la nuit va me réserver des surprises, je regarde la femme qui est toujours adossée contre l'arbre toujours entrain de m'écouter, elle a peur, ou elle fait semblant, en tout les cas elle ne doit pas être tranquille.

Porter une épée si on veux faire la paix, voilà un contraste qui me fait beaucoup sourire, déposez votre lame a terre et, persuadez moi de ne point vous tuer.

J'ai coupé ma musique et la regarde droit dans les yeux, le jeux a commencé, je risque de beaucoup m'amuser.

Mes yeux continuaient à regarder les nuages passer sur la lune éblouissante. J'étais maintenant perdu dans mes pensées... Puis, mon oreille se tendit. Mon regard tomba sur le vampire, il avais complètement changé de type de musique. Elle était effrayante par rapport à celle que j'avais entendu juste avant. Soudain il s'arrêta pour parler :

Hé bien damoiselle, j'aurais une question a vous poser ? Il n'y a jamais une bonne raison de tuer quelqu'un, alors dans ce cas pourquoi portez vous une épée ?

Et encore ce même sourire se dessinant sur ses lèvres pourtant si douces... Il recommence sa chanson aussi angoissante que son sourire.

Porter une épée si on veux faire la paix, voilà un contraste qui me fait beaucoup sourire, déposez votre lame a terre et, persuadez moi de ne point vous tuer.

Cette fois c'est à ma bouche que vint un sourire. Comme si j'allais me rendre aussi facilement. S'il avait tant l'habitude de rencontrer des humains de cette sortes.... Il ne savait pas ce que j'étais vraiment. Je me mise accroupis puis me relevai, en avançant tout doucement vers lui. Je m'arrêtais quelques mètres devant.

Une arme ne sert pas qu'a tuer. On peut se défendre avec. Et je vais vous enseigner un sentiment que vous ne devez malheureusement pas connaitre : La pitié. Un sentiment qui fait que pour garder honneur on ne tue pas la personne en face de nous. Enfin... Il y a des gens pour qui nous n'avons aucune pitié à cause de leurs atrocités...
*Montre l'arbre de sa main tout en laissant son regard pénétrer dans celui de la créature avide de sang*
Pourquoi ne pourrais-je pas vous demandez de ne pas me tuer tout en gardant mon arme ? Hum ? Alors que si je la dépose vous risqueriez de venir m'écorcher avant que je ne prononce un mot... Après, chacun son opinion mais celle ci est la mienne, qu'en pensez vous ?
Et puis... se rendre si facilement au commencement d'un très loin voyage ne serait pas judicieux....

Il fallait que je résiste à l'envie d'enlever mon long manteau pour m'envoler dans les airs... Cela restait tout de même facile.

Un rire, un rire...Certes un rire qui fait peur au enfants, qui les tourmente jusque dans leurs rêves qui les terrifie même je le jours, un rire sardonique, des choses perchés sur les arbres se sont envolés, surement a cause du bruit...Je la fixe des mes yeux rouges qui sont allumé d'une joie perverse et malsaine, je passe une langue sur mes lèvres en me calmant.

A se défendre, si quelqu'un en vient a vous frapper avec une épée ou une autre arme, vous ne feriez que vous défendre ? Vous ne le tueriez pas, s'il menace votre famille ou encore vos amis, ou bien même un innocent, vous le laisseriez faire ? Car, vous ne pourriez pas le tuer non ? Si vous n'utilisez que votre épée pour vous défendre.
Quand a la pitié, voila un sentiments que j'ai délaissé depuis très longtemps ainsi que la joie et le bonheur quand a l'amour, je ne préfère pas en parler, et puis, je ne viendrais pour vous écorcher, je vous ferais souffrir bien plus longtemps avant, des petites entailles sur tout le corps, voila qui peux être drôle, ou bien encore vous arracher les yeux ou la langue ! Et puis, je pourrais boire votre sang, ou encore vous ouvrir le ventre et vous faire contempler vos intestins. Voila qui est amusant ! Et pour votre question je vous tuerais dans tout les cas, je ne connais pas la pitié et pour votre opinion, je pense des choses que je ne vous révélerais point. Avez-vous d'autre question madame, ou nous pouvons maintenant jouer ?

J'ai faim et l'odeur du sang que cette jeune femme possède me fait bouillonner, je pourrais l'attraper et la dévorer, mais je préfère la faire paniquer, l'exciter la terrifier, je suis fou...Hihi, je continue a la regarder en souriant, le même sourire pervers et sadique, les bêtes pendue ne me font plus effet j'ai besoin d'une proie qui pense et qui a peur. Allez jeune femme, accepte mon offre et je serais plus gentil avec toi...

Soudain un rire émana de sa bouche. Son visage se crispa sous l'étendu de ses lèvres, jamais je n'avais entendu aussi troublant. Je sentis quelque chose bouger derrière moi, surement les cadavres dans la brise qui venait d'arriver. Il passa sa langue sur ses lèvres puis les ouvris. A chaque parole qu'il disait, j'avais l'impression qu'il m'hypnotiser, que mon corps lâché sous le poids de ses mots. Il commença à décrire les tortures qu'il pourrait me faire. Mes yeux se dilatèrent très fort, mon corps se figea. Le souvenirs du cauchemar que j'avais fait à propos de mes parents me hanta... C'était affreux, mais cette fois je me voyais à côté d'eux, subissant la même chose... Les larmes montèrent à mes yeux, j'avais envie de craquer... Ma main droite passa sur le fourreau de mon épée pour prendre son manche et la jeter aux pieds du vampires. Soudain je me reprise, non il ne fallait pas que je crack... Mon bras revenait tout doucement à sa place. Ma main pris la forme d'un poing. Mon sang qui était devenue éruption redevint une rivière calme, avec quelques effets de sursaut puis tout redevint normal. Mon souffle haletant repris son cour habituelle. Mon poing se desserras sans quitter sa forme. Mes yeux se fermèrent un instant, je sentais tout ce qui était autour de moi, je voyais les cadavres bouger cette fois. Enfin je les ouvris, puis le regarda d'un regard menaçant. Certes je ne savais pas quoi faire mais je mettais calmer c'était le principal. C'est ce qu'on m'avais appris, et ce que j'avais lus dans les livres. Il n'avait pas remarquer le bleu assez impressionnant de mes yeux qui pourtant le fixé très sérieusement à présent. Je n'avais rien à répondre, je restais là, me sentant plus seule que jamais, plus d'argument... Plus rien... Il ne me restait plus qu'a jeter mon épée, de toute façon je n'en avais pas besoin, mais lui ne le savais pas, encore un avantage, cela me réjouissait plus que tout. Cette fois si, d'un geste sûr ma main pris le manche de l'épée, et la planta avec force à ses pieds.

Voila *sourit* vous êtes content ? En tout cas je l'espère bien ...

Elle va craquer, bientôt, ho, elle se calme, elle sert le poing, elle a envie de me frapper elle fait preuve d'un calme légendaire, je vais continuer a titiller ses nerfs elle a envie de pleurer, comme c'est choux, elle est calme la petite.

Non je ne suis pas du tout satisfait ! Vous n'avez pas assez souffert ! Vous n'avez pas versée une larme, je suis loin d'être satisfait mademoiselle vous êtes a ma merci en effet mais vous êtes calme, et s'il y a une chose que je déteste particulièrement quand je veux faire souffrir quelqu'un c'est qu'il soit calme ! Et vous ne m'avez toujours pas dit si vous voulez jouer avec moi, je vais donc le prendre pour un oui, nous allons jouer...La vie ! Celui qui perd meurt, un marché équitable non ?

Je dégaine ma lame en souriant toujours autant, toute ma joie c'est effacé, je veux juste la faire souffrir lentement, qu'elle hurle qu'elle me supplie de l'achever, quelque chose que je répugnerais a lui donner se que je ne ferais pas bien sur, elle a parlé d'un voyage ? Elle se rend surement a la capitale humaine.

Juste une chose, aucun droit de blesser l'adversaire, sinon ce n'est pas drôle. Vous êtes déjà assez faible comme cela, vous voulez choisir le jeux ?

La lune est caché par des nuages, un vent froids souffle, je bouge rapidement mes mains et je m'efface lentement, les yeux de la jeune fille ne fixe que du vide...Lentement je suis derrière elle, et lui souffle a l'oreille.

Le jeux est prêt quand vous l'êtes, ne me faites pas trop attendre ceci est impoli.

J'ai l'impression qu'il s'énerve, cela me fait plaisir. Jouer la vie... Je n'ai pas à perdre ce combat... Je le vois prendre sa lame, puis il disparait. Mes yeux fixaient à présent le brouillard qui régnait en cette nuit de pleine lune. Je fermai les yeux, le calme était toujours miens, et je sentais le vent que le vampire faisait autour de moi. D'un seul coup j’entendis une branche craquer à ma droite, je me tournai prête à réagir, comment allait-il m'attaquer ?! Mais ce n’était que cette bestiole que j’avais croisé tout à l’heure... A cause de ça j’avais perdu sa trace, je me mise droite et attendais. D’un seul coup je l’entendis, juste derrière moi, me murmurer que le jeu allais commencer, que je devais le choisir. C’était enfantin, je n’aurais jamais cru cela de lui, si sardonique...
Un jeu... un jeu... cela fait si longtemps que je n’ai pas joué, avant j’aurai trouvé de suite ! Mais là...
Je mettais retourné, j’étais à quelques centimètres de lui, je le fixais dans les yeux pour trouver la réponse, ce qu’il voulait entendre. Au moins Monsieur serait content ...
Quelques secondes plus tard... Toujours rien, il commençait à s’impatienter, je le sentais...

Ce n’est pas que je ne suis pas prête, mais... Je n’ai aucun jeu en tête, navrée... Peut être que vous, vous avez plus d’inspiration que moi ?

Je lui souriais à présent, comme si on était amis et qu’on allait vraiment jouer comme des gamins. Pourtant ce n’était pas le cas, mais le calme résidait au plus profond de mes veines, qu’allait-il choisir comme jeu ? Quelque chose où il serait sûr de gagner ? Sa ne m’étonnerais pas ...

Je pousse un soupir et m'éloigne, elle ne veut pas jouer, ou elle ne fait aucun effort pour cela. Je m'éloigne un peux d'elle quérir la solitude et trouver un coin dégager pour regarder la lune.
Je ne suis pas énerver...Enfaite si ! Pourquoi ? Elle m'énerve juste. Hé bien, pourquoi ne pas la tuer ? Je pourrais mais c'est plus drôle de jouer avec avant...La lune est haute et ronde dans le ciel, je la fixe avec mes grands yeux pourpre, j'ai envie de mordre dans le cou de la dame plus loin. Trop tard, je me pose contre un arbre et prends mon violon, un peu de musique histoire de détendre cette soirée plutôt...médiocre ! J'ai une soif de sang et de violence très grande que j'essaye de maitriser en jouant une musique, douce et aussi angoissante que la précédente que j'ai joué. Il faudrait que j'aille a la capitale humaine...En tout les cas, la femme n'est pas une elfe, pas assez belle, n'y une vampire, trop laide, pas une naine trop grande et trop belle, et pas un démons, pas assez maléfique...Il reste ange ou humain, je ne sais pas trop quoi choisir, dans tout les cas je m'en fiche un peu...Ange ou humain, dans le même panier les deux peuples sont plus gentils l'un que l'autre...Ridicule, il faut rétablir le calme par la violence, dans tout les cas, je suis mieux tout seul, sans cette femme qui n'aime pas la violence et qui porte une épée...Ridicule.

Il ne disait rien, et s'éloigna de moi. C"était bien étonnant, aucune remarque, aucun sentiment apparaissant sur son visage... A vrai dire cela m'inquiéter, non pas pour lui, mais pour moi. Je ne savais pas encore ce que "rien" voulait signifiais dans son esprit. Peut être voulait-il retrouvé le calme ? Il sortit à présent un violon adossé contre un arbre, et commence à jouer. Je sentis une certaine énergie dans ses doigts. Surement celle de la colère. Il ne disait toujours rien cela m'étonnais vraiment ! Tout en continuant elle me regardait, non en fait il me dévisageait ! De la tête au pied. Il a du sentir ou voir que je n'étais pas ce qu'il croyait... C'était comme si je voyais de multiple points d'interrogations dans ses yeux. D'un seul coup j'éternue. C'est vrai qu'il commençait à faire froid, dans les bois, en pleine nuit sa n'arrangeait rien. J'allais sortir ma main pour faire du feu magique mais il ne fallait pas qu'il le sache...

Savez vous faire du feu ? Et... Vous pouvez ranger votre instrument... J'adore votre musique, elle est magnifique mais j'essaye de réfléchir à un jeu auquel nous pourrions jouer... Car je suppose que vous ne voulez pas non plus me laisser partir ?

J'attendais sa réponse... J'en avais marre d'être là avec lui, à attendre qu'il me déchiquète comme du vulgaire papier. Et là, la pensais de ses dits sur la torture qu'il pouvait m'infliger me revint, et sa musique de mort et si belle à la fois... Je n'effondrai par terre, sur mes genoux et je le fixai, je sentais la douleur même si elle n'était que pensée, c'est ce que j'avais pu retenir comme émotion pour garder mon calme qui ressortait à présent. Soudain une larme, coula sur mon visage, dessina mes lèvres et tomba au sol.

Oh non...

Mon cœur battait très fort, ma respiration commençait un rythme lourd et le vampire arrêta sa musique... Les choses allait mal se passer, il allait retrouver son amusement à me voir comme ça... La frayeur était entrain de me pétrifier... Et cet "homme" se leva...
Qu'allais-je m'arriver ?...

Ah enfin dans les Bois Lunaires!

Après deux jour de chevaucher,j'étais finalement arrivé à cette clairière ,jarrivai ou sortait toujours du bois par celle-ci.
Je respire une bouffé d’air frais et entre enfin dans le Bois. Je descendit de mon cheval, Murmure ,un magnifique étalon à la robe noire,et marcha tranquillement dans la clairière en le tenant par la bride. Tout ce que je faisais c'était écouter le bois... J’entendais le bruit du vent qui soufflait dans la cime des arbres…,tout en avançant.
J’avais vu ce bois une centaine de fois et à chaque fois j’étais émerveillé par la beauté de cet endroit,un endroit magnifique.Le Bois n'avais pas changé, il était toujours le même à la fois intimidant et mystérieux que beau et paisible. Mes pas étaient étouffés par la mousse qui tapissait le sol de ce bois magnifique,je me souviens qu'elle avait toujours tapissé ce bois,même le bruit des sabots de Murmure ne se faisait entendre. Je m'y enfonçais un peu plus à chaque fois . Je m‘arrêtai finalement et m’assis sous un arbre après avoir attaché Murmure à celui-ci. Je méditais en regardant le ciel, mais les jeux de lumières du soleil entre les branches et les feuilles renfermaient une apaisante berceuse et je finis par m’endormir …
Quand je rouvrit les yeux, il faisait nuit. Je voyais la lune ,elle était pleine, les étoiles et les branches bercé par un vent froid. Je frissonai,je finit par me lever et me rendis auprès de Murmure. J'ouvris ma sacoche et en sortis une cape verte pour m'enrouler dedans.
Je me remis en route,écoutant le silence profond qui m'accompagnée.

J'avais déjà parcourue presque une lieue lorsque Murmure renacla.J'arrivai près d'une clairière ,il y avait une forte odeur. Je me fit silencieuse,il y avait surment quelqu'un sinon Murmure n'aurait pas renaclé ainsi. Je mis derière un buisson pour observé la scène.
Il y avait des corps accroché à un arbre. Une scène macabre quand on a pas l'habitude.
Je baissa mon regard et vis deux personnes,l'une debout,l'autre éfondré au sol.je fis lentement couché Murmure pour que l'on ne le remarque pas.

Faire du feu ? Arrêter ma musique ? La laissez partir, pour rien au monde je laisserais partir le petit ange qui est venu se prendre dans ma toile, et il a peur, il pleure, c'est mignon...J'ai rangé mon violon, je m'approche doucement du petit ange lui effleurant le coup, mes yeux rouge brillent encore plus, deux tache pourpre dans la nuit, dans les bois...Je m'assois a coté de l'ange, effleurant sa peau pale de mes lèvres...Je me laisse allez a cette tentation, allongeant mes canines, je les plante doucement dans le cou de Sùrionn, tout en douceur, je les laisses allez doucement dans la jugulaire de cette dernière, laissant le sang envahir ma bouche...Doux liquide rouge, je l'avale doucement, je ne vais pas la vider, la tuer serait trop dommage, je peux encore l'utiliser comme gourde...Ou mieux, nous verrons sur le volet !
Je retire mes canines avec douceur

Vous supposez très bien mademoiselle, pas besoin de faire du feu non, je n'ai pas froid personnellement,

[J'éditerais demain]