A la recherche de la première clé

Voilà maintenant plusieurs minutes que Galya était arrivée sur le continent Humain, au bas des falaises hautes et escarpées, sur une minuscule plage de graviers et de blocs irréguliers. Ses bras étaient endoloris, et sa concentration, évasive. Un petit repos semblait nécessaire à l'elfe pour recouvrer ses forces, son visage parfois aspergé de gouttelettes d'un embruns frais.


Pour accéder aux contrées de Titania, Galya a su se faire discrète. Installée dans la calle d'un navire marchand, personne ne semblait avoir remarqué sa présence.. cela est sûrement du au fait que bien peu de personnes songe à regarder au dessus sur leur tête, que quelqu'un ne soit pas suspendu au plafond. Galya le savait et s'était installée confortablement, dans un hamac fait d'un entremélat de cordes tissées par ses kunai grace à ses dons de télékinésiste. Elle était devenue une experte pour les manier à distance : cela lui demandait dorénavant peu d'effort, si, bien sûr, l'action ne durait pas trop longtemps. Son domaine était le contrôle de l'acier, ce qui lui valait ses compétences de roublarde à la solde du Cercle. Le contrôle de ses sentiments en toute circonstance aussi était important dans ce milieu, et bien souvent, pour prouver sa valeur, elle se devait d'accepter des missions dites de "charme". Mais cette fois-ci, la mission qu'elle venait de recevoir était toute autre.... Elle devait retrouver... Un objet perdu ?! Le destin lui sourira peut-être, mais elle ne pouvait refuser une telle requête.

Lorsque les côtes du continent humain se faisaient proches, Galya quitta le navire, aussi discrète qu'une souris aurait pu l'être, et partit décrocher un des navires de secours qui longeait le pont du grand bateau. Doucement, lentement, elle fit descendre son embarcation à même l'eau, elle, se trouvant à l'intérieur, sa silouhette cachait derrière sa cape et son capuchon.

Deux mètres... C'était ce qu'il manquait comme cordage pour que le petit bateau à rames dans lequel elle se trouvait puisse attendre la surface miroitante de l'océan. Ne voulant pas se faire remarquer, elle attendit une vague plutot sonore contre la coque du navire pour se laisser tomber dans l'eau. Aucun témoin autre que les mouettes qui se moquait à grands cris de tant de manières pour se faire discrète.

Le grand bateau s'éloignait peu à peu de Galya, qui jouait de ses bras sur les rames pour rapprocher sa coquille de noix au plus près de la côté qui se profilaient au loin. L'elfe n'était pas robuste, et l'effort l'engourdit rapidement. Elle dut enchainer sur ses pouvoirs particuliers pour poursuivre le chemin qu'il lui restait à faire, en actionnant ses kunaï comme une hélice derrière sa coque. C'était efficace, mais assez épuisant, donc elle l'utilisait uniquement pour se reposer les bras, et assez peu longtemps pour ne pas brouiller sa vue et ses méninges.

Un peu plus de deux heures était ce qu'il lui avait fallu pour arriver sur sa petite plage de gravillons en contrebas de la falaise. Et maintenant, elle se retrouvait là, allongée sur un long rocher plat, à reprendre ses forces. Son bateau était remonté sur terre contre la falaise, et encombré par quelques blocs de taille modeste, pour ne pas que le courant l'emporte au loin.

De ses yeux mi-clos, et en un soupir, elle regardait un semblant de corniche qui remontait la falaise....

Tu pourras voir à ton réveil que malheureusement le temps n'était pas aussi beau que lorsque tu es arrivée. Le vent c'est levé et les nuages sont plus menaçants que jamais. Il commence même à gronder un peu. La mer est tendue et assez agitée, si jamais tu aurais eu envie de repartir immédiatement cela aurait été très risqué dans ta frêle embarcation.
Tu te trouves donc là où ton ordre t'a indiqué la présence d'un des clefs, là où les falaises sont les plus hautes. Tu as même pu remarqué la corniche accidentée et friable qui serpentait le long de la paroi en pierre grise.

Maintenant que tu as l'esprit plus clair, tu peux observer les environs et en apprendre plus. La falaise retient en fait un petit jardin dont tu vois les branches d'où tu te trouve. Un petit escalier en fer forgé, bien décoré mais modeste s'engage derrière un petit aplomb. Tu en vois donc la base mais impossible de voir où il mène ou même son autre extrémité. La plage est en fait une plage de galets à cet endroit, bien explicable par la nature des lieux. La végétation minime qui s'y développe ondule fortement, car elle est souple et frêle, sous les rafales du vent qui commence à se lever...
Apparemment tempête se prépare.

Les vagues sont de plus en plus importantes et repoussent les galets sous un roulement caractéristique qui fait légèrement vibrer tes tympans. Il ne fait pas froid pour autant, surtout lourd.
Un anneau solidement fixé à la falaise retient une corde qui s'étend sur toute la longueur de la plage et qui finit par être doucement ballotée par les flots grandissants.
La corniche dont tu as vu les prémices est située en hauteur mais un rocher de petite taille permet d'y accéder cependant il est recouvert de vase. Pour l'escalier pas de problème, il est bien entretenu et cela se voit que nombres de voyageurs passent par là.

Que choisis tu de faire ? Seras tu tentée par la facilité mais le risque de monter par le sentier et par les escaliers ou préfères tu te risquer à escalader la falaise haute d'une quarantaine de mètres mais avec de nombreux arrêts possibles, dans des cavités creusées au fil des siècles ?

[désolée pour le retard de la réponse]

Galya était le genre de personne à préférer la facilité pour ses missions, afin qu'elles s'achevassent assez promptement. Mais, là, ce n'était pas une mission comme les autres, celle-ci semblait vraiment importante pour ses supérieurs, et sa couverture devait être protégée. Se risquer sur un escalier ? Même par tempête, n'importe qui pourrait venir sur la petite plage récupérer des galets polis par le roulement caractéristique des vagues... Galya préférait donc escalader la paroi abrupte. Au fil de ses années dans le 'métier', elle avait appris à maitriser, de façon avantageuse, ses pouvoirs, à cette fin.

Galya se positionna, poings contre hanches, face aux quelques blocs qui s'empilaient maladroitement pour mener à la corniche. C'était assez haut, mais elle avait déjà répéré quelques prises et quelques plats pour escalader ça au mieux. Le soucis était cette vase, qui pourrait la faire glisser vers le bas, et ces vagues, si elles devenaient plus fortes, qui la tremperait jusqu'aux os. Galya pesa les pours et les contres, mais les pours avaient largement gagné la partie.

Elle ficella son sempiternel bout de corde à deux des ses kunaï, le troisième restant logé sur elle. Quelques instants plus tard, ses kunaï lévitaient près de ses épaules, l'un à gauche, l'autre à droite. Cela ne lui demandait vraiment pas d'effort, son art étant essentiellement basé sur la manipulation du métal. Une main posée sur la roche, elle plissa son front, et les deux kunaï se plantèrent simultanément dans la paroi. Des éclats de roche se propulsa contre son visage et son cou. Heureusement, le bruit des vagues étouffa un juron bien mérité.

La roche était friable, les kunaï s'y enfonçaient bien, mais, hélas, si la pression était trop forte, la roche pouvait se fissurer. Elle se devait d'être rapide. D'un bond, ses mains prirent position dans des fissures coupantes, ses kunaï enfoncés de part et d'autre, assurant plus un équilibre idéal qu'autre chose. La roche ne pouvait pas supporter le poids de Galya si seuls ses kunaï la tiraient vers le haut. Cependant ses pieds, eux, n'avaient au cours de l'escalade que des prises assez peu pratiques, épaisseur de la botte oblige, comparé aux doigts fins. Les algues qui tapissaient la roche n'aidaient Galya en rien.

L'escalade avait débutée, demandant plus d'effort à Galya que la montée des grands arbres elfiques qui traversait son esprit à ce moment là.

Sur la plage les vagues augmentent de volume et submergent bien facilement ta petite embarcation l'emmenant au loin. Certes tu l'avais mise à l'abri mais à l'abri d'une mer calme. Étant un Os Noir tu aurais dû savoir que la mer déchainée est fourbe puissante et implacable. Si tu te retourne en grimpant la falaise tu pourras voir ta chance de repartir par la mer s'évanouir... Tu n'avais pas relevé la corde qui serpentait entre les galets, celle même qui était accrochée à la falaise par une solide boucle en métal et qui aurait sauvé ton petit bateau.



Ta décision de forcer la falaise à t'accepter peut être considérée elle aussi comme mauvaise mais ça ce n'était que du hasard pur et dur... Personne ne serait passé près de l'escalier pendant que tu montais. La falaise et plutôt sage aujourd'hui, tu as de la chance, elle ne se laisse pas souvent faire. Bienheureusement tu as prit un chemin "facile" sur la pierre, il y a de nombreuse prises pour te rattraper en cas de nécessité. Ton don aussi t'aide beaucoup, c'est un allié précieux, il te permettra de te fatiguer moins.



Arrivée en haut tu pourras mieux évaluer les lieux et la situation. Le paysage semble reparti en anneau autour d'un grand bâtiment. C'est un bâtiment en pierre, la même pierre que celle de la falaise. Le bâtiment et rond, tout s'articule autour de lui. Un doux labyrinthe fait de fleurs et de haits se dessine. C'est un labyrinthe purement décoratif, il n'est que simplement tracé au sol. Plus loi, une forme rectangulaire et bien marquée, se jouant des courbes du lieu. Ça à l'air très profond et sombre.
Le sol est recouvert de petit gravier jusqu'à la bâtisse ronde. Les arbres aux alentours ondulent sous la caresse du vent, moins fort que sur la plage. Le ciel se fait toujours menaçant et noircit de plus en plus. Tu trouveras surement des indices par ici. C'est bel et bien le bon lieux, le plus haut des falaises, là où ton chef t'a envoyé.

Deux choix s'offrent à toi. Explorer la bâtisse ronde, ressemblant à un temple, et qui l'est surement, ou t'enfoncer dans la noirceur de la forme rectangulaire...

Tandis que Galya était arrivée au sommet, les muscles des bras et du dos endoloris par son ascension vers les hauteurs, elle s'apperçut, d'une tache noire malmenée par les flôts en contrebas. La coque de noix qu'elle avait placé en hauteur s'était rapidement faite avalée par l'océan dorénavant en furie. Le destin se jouait-il d'elle ? Jamais elle n'aurait pu songer que l'eau grimpât aussi vite !

L'elfe n'avait plus le temps de penser à ça, ce qui était fait ne pouvait plus être défait.

Longeant la crête rocheuse, sans se mettre à découvert, elle s'approcha peu à peu de ce qui semblait être les jardins d'un temple. Elle analysa de là où elle était les essences de plantes qui égayaient ces jardinets colorés. Elle suivit aussi des yeux les différents chemins possibles, qui la mettraient à découverts quelques instants.

Un arbre pointait non loin de là. Assez rapidement, malgré son dos raide, elle s'accola à celui-ci. De même vers le prochain arbre dans son champs visuel. Elle songeait à grimper dedans, mais avec ce vent, cela n'aurait pas été évident.

Elle s'approchait peu à peu du batiment central fait de la même pierre que l'étendue rocheuse qui se perdait juqu'au bout du regard. Arrivée à proximité du batiment, Galya semblait sûre d'être seule. Par fort vent, il semblait plus probable que la populace se réfugiât sous terre que dans une barraque où le vent sifflant pourrait arracher quelques pierres meurtrières. Mais sa curiosité se jouait d'elle, le batiment était-il pourvu de coffre ou de portes à crocheter ? Galya s'approcha donc, les sens en alerte par rapport à ce vent violent.

Bizarrement, dans le bâtiment que tu convoite, il n'y a aucune trace de vent, ni des éléments qui se déchainent. Pas même au tentures dehors... l'intérieur semble être figer et danser à la fois. Les matière fluides s'enroulent les unes autour des autres, refusant de montrer les murs en cristal de roche, pourtant bien visible. Ce qui sépare l'intérieur de l'extérieur n'est qu'une simple arche qui refuse l'accès du temple rond au vent.
En avançant dans le bâtiment, tu verras au dessus de toi un dôme de cristal de roche dont les bougies suspendues s'amusent à jouer de reflet sur la surface froide et argentée. La lumière et donc agréable, claire et tamisée à la fois. Il n'y a rien pour s'asseoir à l'intérieur, aucune chaise, aucun banc ni coussin. La place semble donc immense alors qu'il n'en est rien. Le seul meuble qui agrémente la pièce est un promontoire sur lequel un vieux livre en cuir relié et sans valeur trône.
Un long tapis agréable au toucher et d'une couleur bleue très foncé recouvre la majeure partie du sol montrant bien que les croyants se tiennent debout et pieds nus.
Tout autour de toi n'est que nuance de bleu, les tentures, les reflets sur le cristal, le sol... Le bleu qui est aussi la couleur de l'Eledar.

Aucun coffre n'est donc à forcer ici, aucune chose à voler, juste le registre relié de cuir surplombé par une étrange œuvre. Étant prés du mur, il ne trouvait que pour seule compagnie à cet instant trois femmes de cristal de roche arquées au dessus, formant comme un tout petit dôme au dessus de celui qui aurait voulu lire le livre. Ces femmes avaient les bras tirés vers l'avant, le visage tourmenté, la bouche lâchant un cri que leurs lèvres ouvertes n'arriveront jamais à prononcer. Aucun attirail n'habillait la statue. Nue, seul faite de sa matière brut, un mot venait à l'esprit de celui qui la regardait....
Douleur.

C'est un lieu naturellement intimidant, en sera t'il de même pour toi ?

Galya était étonnée de voir un lieu si sommaire, mais en même temps empli d'une force brute qui ne demandait qu'à surgir, telle la douleur que laissèrent supposer ces statues de cristal. Un tremblement la fit tressaillir, elle qui n'aimait que les fourre-tout en désordre, et les collections de bibelots sans queue ni tête, voir un lieu si épuré ne put que la surprendre... La seule chose qui satisferait sa curiosité aujourd'hui en ce lieu était ce vieu grimoire.

La salle ressemblait étonnament à un cercle de prières. Le livre devait contenir des psaumes ou autres récits divins, afin d'alimenter les esprits des dévôts qui s'y rendraient. Galya n'en avait que faire de ces paroles incensées, mais elle décida tout de même de s'en approcher... La salle était vide de ses individus, étant donné qu'elle ne vit que le piédestale, l'autel et les tapis azur de là où elle était. En son enceinte, elle serait visible, car sa tenue ne se prétait pas à la discrétion dans un tel lieu... Alors elle établit une autre technique qui ne lui demandait pas tellement d'effort, mais assez de concentration, occultant ce qui se passait autour d'elle.

Elle s'agenouilla près d'un des pants de l'arche, protégée du vent, et dans l'ombre de celle-ci afin d'être le moins visible possible. Elle sortit l'un de ses kunaï qu'elle fit glisser sur le sol, puis se concentra sur une direction à prendre. Le kunaï vibra lentement, et commença son voyage, longeant le mur de la pièce, sans toucher les tapis, jusqu'à atteindre la base de l'autel. Galya jetta un oeil autour d'elle pour voir si personne n'était sur le point de l'appercevoir, puis elle continua son tour de télékynésie. Le kunaï s'envola doucement jusqu'au niveau du livre qu'elle voyait de là où elle était, à travers ces blocs de cristal, et, si rien ne l'en empéchait, allait de sa pointe, l'ouvrir lentement et faire tourner ses pages... afin de se prouver à elle même qu'elle pouvait l'approcher sans crainte d'un mauvais sortilège.

Aucun sortilège ne te fit mal ni ébroua les lieux en tempête qui rageait dehors. Deux pages tombèrent néanmoins au sol et rampèrent jusqu'à toi. Oui, rampèrent ! Elles se faufilèrent entre tes jambes en se froissant et en suivant des trajectoires non naturelles. Il y avait bien un enchantement mais plus une farce jetée discrètement pour effrayer le prêtre. Tes pages donc avançaient vers une mort certaine, la pluie qui commençait à tomber à grosses goutes éparses sur le jardin que tu arpentais tout à l'heure. Mais les farceuses firent un demi tour et filèrent à toute vitesse vers toi pour "t'attaquer". Biensûre, le papier ne te faisait pas mal et elles ne se servaient pas de leur tranchant pour te blesser. Cet étrange phénomène cessa pour bientôt retomber autour de toi. Une des deux pages et vide mais l'autre contient une écriture que tu n'arrives pas forcement à déchiffrer tout de suite mais quelque chose de dit que c'est la clef de tes recherchent et que l'action devra céder la place à la réflexion...

Sur la feuille de papier la plus intéressante, l'encre bleu se détache d'un fond transparent mais le tout reste très lisible.



Tu ne peux avancer sans déchiffrer ceci mais ça apparait là comme une aide précieuse pour t'orienter vers la suite...

[Bon courage ! Si besoin d'un indice il faut me le demander par MP, bonne chance ^^ *sourire sadique* ]

Galya était plus que surprise de voir ces feuilles "jouer" avec elle, mais lorsqu'elles se posèrent entre ses jambes pour en devenir inertes, elle s'aperçut que l'une d'elle portait une écriture étrange et inconnue, tandis que l'autre était desespérement vierge.

Elle rappela son kunaï à elle, et, toujours protégée des intempéries par le pilier auquel elle était adossée, elle tenta de déchiffrer le texte... Quelques instants passèrent, où sa concentration était mise à rude épreuve. Langue tirée, sourcils froncés, doigts crispés sur la page de lettres difformes, elle ne put que se soumettre au fait que c'était impossible à déchiffrer sans aide extérieure.

Au moment où elle allait renoncer, pour repartir à l'aventure et à la découverte de cet endroit inconnu, la tempête qui faisait rage autour d'elle la sortie de sa concentration, une rafale éclaboussant légèrement l'eau d'une flaque naissante vers son visage. Elle s'essuya de ses vêtements, puis regarda le ciel assombri par la tempète... C'est bien vrai que le ciel était noir, mais il ne l'était pas autant que lors de la pleine éclipse qu'il y avait eu quelques jours auparavant. La force ou la dextérité de Galya ne s'était pas accrue depuis cet évènement, et elle doutait quelque peu que cette année, un quelconque changement survienne chez elle. Mais, comme pour contrecarrer ce destin suggéré, une nouvelle rafale envoya de l'eau sur elle, comme pour la réveiller.

Elle se remit à lire ce parchemin indescriptible, poussée par une force extérieure, et jura entre ses dents, quand, peu à peu, les lettres prennaient un sens à ses yeux, se modulant au gré du bruit de la mer qui se fracassait contre les rochers en contrebas.

"amara miêna
êré d émérald
///
sakh rémpli d or
khristay-arméz
épée
minyskhylé khlê
én or-prékhiéysé
dagye sertié dé piérrés"

Galya comprenait rapidement de quoi il s'agissait même si ses facultés de traduction étaient médiocre, ou bien la langue très ancienne. Il s'agirait d'un enchainement d'objets à avoir ?
Sac rempli d'or ?
Cristaux ?
Epée ?
Minuscule clé en or précieuse?
Dague sertie de pierres ?

Cela intriguait réellement Galya.